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QCM


Bienvenue dans l'espace interactif de votre manuel.

Les QCM. Rappelez-vous que chaque QCM est directement lié au cours de votre manuel : il vous est donc conseillé d'en effectuer une lecture attentive avant de vous lancer dans ce test !

Pour chaque question, cochez, parmi les items proposés, celui ou ceux qui vous semblent corrects (lorsque le contenu de l’item ne s’affiche pas, reportez-vous au QCM correspondant dans votre ouvrage). Attention, parfois plusieurs propositions sont exactes, et il n'y a qu'une seule combinaison juste : pour être considérée comme bonne, votre réponse doit donc regrouper toutes les propositions exactes, et uniquement celles-ci.

Une fois que vous aurez terminé cette série de QCM, cliquez sur le bouton "Valider" en bas de page. Une note vous sera attribuée, selon le barème suivant : réponse correcte = 1 point ; réponse incorrecte = – 1 point ; pas de réponse = 0 point. Vous pourrez alors, au choix, soit tenter d'améliorer votre score, soit accéder directement aux solutions.

Si vous décidez de retenter votre chance, le questionnaire s’affichera à nouveau, avec vos réponses d’origine. En regard de chaque QCM, un bouton « Tester » vous permettra de savoir si vous avez bien répondu ou non à la question : si votre réponse est juste, elle s’affichera sur fond vert ; si elle est fausse, elle s’affichera sur fond rouge, et vous aurez la possibilité de la modifier. Répétez l’opération sur l’ensemble des questions pour lesquelles vous n’êtes pas sûr de vous, et validez à nouveau la totalité du questionnaire : votre nouvelle note s’affiche.

Les QROC. Rédigez votre réponse sur une feuille de papier, et comparez-la avec la solution proposée par les auteurs.

Bon entraînement et bonne chance !
1
À propos de la terminologie de l’évaluation des méthodes diagnostiques :
  • A
    chez les vrais positifs, la positivité a été plusieurs fois confirmée par le test ;
  • B
    les faux négatifs se sont d’abord révélés négatifs, puis positifs au test après vérification ;
  • C
    les sujets faux négatifs ne sont pas vraiment négatifs ;
  • D
    les faux positifs sont des sujets non malades ;
  • E
    les faux négatifs sont les sujets conjointement négatifs et malades.
 
2
La sensibilité Se et la spécificité Sp :
  • A
    sont des probabilités marginales ;
  • B
    sont des probabilités conjointes ;
  • C
    sont des probabilités conditionnelles ;
  • D
    sont représentées, en abscisse (pour Sp) et en ordonnée (pour Se), sur une courbe ROC dans le cas d’un test à réponse quantitative ou ordinale ;
  • E
    sont telles que leur somme est toujours égale à 1.
 
3
Un test pathognomonique :
  • A
    n’est jamais en défaut vis-à-vis de la maladie ;
  • B
    déclare positifs tous les malades qui y sont soumis ;
  • C
    déclare négatifs tous les non-malades qui y sont soumis ;
  • D
    est un test de spécificité absolue (Sp = 1) ;
  • E
    est un test de sensibilité absolue (Se = 1).
 
4
Un test parfait :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
5
On dispose de deux tests diagnostiques à réponse binaire (positif ou négatif) T1 et T2 pour une même maladie. Ces deux tests sont indépendants l’un par rapport à l’autre. Leurs sensibilités et spécificités sont notées Se1 et Sp1 pour T1 et Se2 et Sp2 pour T2. On décide de créer un test unique T3 en soumettant nos patients à T1 et T2 et en ne déclarant positifs que les sujets pour lesquels à la fois T1 et T2 sont positifs.
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
6
On dispose de deux tests diagnostiques à réponse binaire (positif ou négatif) T1 et T2 pour une même maladie. Ces deux tests sont indépendants l’un par rapport à l’autre. Leurs sensibilités et spécificités sont notées Se1 et Sp1 pour T1 et Se2 et Sp2 pour T2. On décide de créer un test unique T3 en soumettant nos patients à T1 et T2, et en déclarant positifs tous les sujets pour lesquels l’un au moins des tests T1 ou T2 est positif.
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
7
Lors de l’utilisation pratique d’un test diagnostique :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
8
Une façon absurde de créer une méthode diagnostique de sensibilité absolue est de considérer que «tous les patients sont positifs». Dans ce cas-là :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
9
Une façon absurde de créer une méthode diagnostique de spécificité absolue est de considérer que «tous les patients sont négatifs». Dans ce cas-là :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
10
On utilise les niveaux de gris suivants pour symboliser les sujets VP, VN, FP et FN d’un test.


On considère le test correspondant au schéma suivant :



  • A
    Ce test est de sensibilité absolue.
  • B
    Ce test est de spécificité absolue.
  • C
    Ce test est parfait.
  • D
    Le résultat négatif du test est toujours exact vis-à-vis de la maladie (VPN = 1).
  • E
    Le résultat positif du test est toujours exact vis-à-vis de la maladie (VPP = 1).
 
11
On utilise les mêmes niveaux de gris que dans la question précédente, mais on considère cette fois-ci le test correspondant au schéma suivant :

  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
12
À propos des ratios de vraisemblance (RV) :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
13
En population générale, on identifie un syndrome infectieux commun à deux maladies, la maladie X et la maladie Y dont on sait qu’elles n’affectent jamais simultanément un même sujet. Ces deux maladies peuvent en pratique être confondues, elles sont cependant dues à deux germes différents (germe X et germe Y respectivement). Seule la maladie X nécessite un traitement puisque la maladie Y guérit spontanément sans séquelle.

La prévalence de la maladie X est constante tout au long de l’année et est égale à 5%. Concernant la maladie Y, on distingue trois périodes dans l’année : une première réputée «habituelle» ; une seconde correspondant à une prolifération du germe Y et donc à une recrudescence de la maladie Y ; une troisième, enfin, où, du fait d’une raréfaction transitoire du germe Y, on observe une diminution de la prévalence de la maladie Y.

Concernant les performances d’un test diagnostique vis-à-vis de la maladie X, en période «habituelle», la Se et la Sp de ce test sont respectivement de 0,9 et 0,8 et le test diagnostique, qui est sensible aux syndromes infectieux, est positif dans 23,5% des cas (soit P(T+) = 0,235). En période de recrudescence de la maladie Y, cette probabilité P(T+) passe à 0,5 et en période de raréfaction de la maladie Y, P(T+) passe à 0,1.

On s’intéresse aux performances du test vis-à-vis de la maladie X en période de recrudescence de la maladie Y.
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
14
On reprend les données de la question précédente, mais on s’intéresse cette fois-ci aux performances du test vis-à-vis de la maladie X en période de diminution de la prévalence de la maladie Y.
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
15
Pour un test binaire positif (T+) ou négatif (T) vis-à-vis d’une maladie présente (M) ou absente (NM), le test présente un intérêt diagnostique dans les cas suivants :
  • A
    P(T+|NM) < P(T+) < P(T+|M) ;
  • B
    P(M|T) < P(M) < P(M|T+) ;
  • C
    P(T|M) < P(T) < P(T|NM) ;
  • D
    P(NM|T+) < P(NM) < P(NM|T) ;
  • E
    P(T+|M) = P(T+) = P(T+|NM).
 
16
On suspecte chez un patient une maladie dont la probabilité prétest est de 0,1. Ce patient est soumis à un examen et son résultat est associé à un ratio de vraisemblance de 2 vis-à-vis de cette maladie. Connaissant ce résultat :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
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