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QCM


Bienvenue dans l'espace interactif de votre manuel.

Les QCM. Rappelez-vous que chaque QCM est directement lié au cours de votre manuel : il vous est donc conseillé d'en effectuer une lecture attentive avant de vous lancer dans ce test !

Pour chaque question, cochez, parmi les items proposés, celui ou ceux qui vous semblent corrects (lorsque le contenu de l’item ne s’affiche pas, reportez-vous au QCM correspondant dans votre ouvrage). Attention, parfois plusieurs propositions sont exactes, et il n'y a qu'une seule combinaison juste : pour être considérée comme bonne, votre réponse doit donc regrouper toutes les propositions exactes, et uniquement celles-ci.

Une fois que vous aurez terminé cette série de QCM, cliquez sur le bouton "Valider" en bas de page. Une note vous sera attribuée, selon le barème suivant : réponse correcte = 1 point ; réponse incorrecte = – 1 point ; pas de réponse = 0 point. Vous pourrez alors, au choix, soit tenter d'améliorer votre score, soit accéder directement aux solutions.

Si vous décidez de retenter votre chance, le questionnaire s’affichera à nouveau, avec vos réponses d’origine. En regard de chaque QCM, un bouton « Tester » vous permettra de savoir si vous avez bien répondu ou non à la question : si votre réponse est juste, elle s’affichera sur fond vert ; si elle est fausse, elle s’affichera sur fond rouge, et vous aurez la possibilité de la modifier. Répétez l’opération sur l’ensemble des questions pour lesquelles vous n’êtes pas sûr de vous, et validez à nouveau la totalité du questionnaire : votre nouvelle note s’affiche.

Les QROC. Rédigez votre réponse sur une feuille de papier, et comparez-la avec la solution proposée par les auteurs.

Bon entraînement et bonne chance !
1
Le bleu du ciel s’explique par :
  • A
    la diffusion Rayleigh ;
  • B
    la diffusion isotrope Thomson ;
  • C
    la diffusion de Mie ;
  • D
    la diffusion Raman ;
  • E
    les phénomènes de luminescence.
Le mot de l'auteur :
Le bleu du ciel correspond à la diffusion Rayleigh par les molécules de 02 ou N2 qui favorise les plus courtes des longueurs d’onde (voir paragraphe 17.3.3b, page 646).
 
2
Le blanc des nuages s’explique par :
  • A
    la diffusion Rayleigh ;
  • B
    la diffusion isotrope Thomson ;
  • C
    la diffusion de Mie ;
  • D
    la diffusion Raman ;
  • E
    les phénomènes de luminescence.
Le mot de l'auteur :
Le blanc des nuages est dû à la diffusion de Mie, elle-même due à des particules dont le diamètre devient supérieur aux longueurs d’onde – c'est-à-dire, en pratique, à celles de l’ensemble du spectre visible (voir paragraphe 17.3.3c, pages 646-647).
 
3
L’opalescence des solutions de protéines s’explique par :
  • A
    la diffusion Rayleigh ;
  • B
    la diffusion isotrope Thomson ;
  • C
    la diffusion de Mie ;
  • D
    la diffusion Raman ;
  • E
    les phénomènes de luminescence.
Le mot de l'auteur :
L’opalescence des solutions macromoléculaires correspond à l’ancien effet Tyndall, application aux solutions colloïdales de la diffusion Rayleigh (turbidimétrie, néphélométrie) (voir paragraphe 17.3.3b, page 646).
 
4
La constante de Stefan est égale à 5,7·10–8 J·s–1·m–2·K–4. À un instant donné, la température superficielle du soleil (considéré comme un corps noir) est de 5700 K. L’exitance du soleil est alors, en unités MKSA, de l’ordre de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
L’exitance s’exprime en W·m–2 (page 23 et annexe 1) et selon la loi de Stefan (page 625), on voit tout de suite qu’elle sera supérieure à 104 W·m–2
 
5
La constante de Wien étant égale à 2,9·10–3 m·K–1, la longueur d’onde dans laquelle l’émission du soleil est maximale dans les conditions de la question précédente est de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
On peut appliquer la loi de Wien (page 627) et on trouverait 509 nm, dans le visible ; en fait, le maximum du rayonnement solaire arrivant sur Terre se situe là où l’œil est le plus sensible, vers 555 nm (pages 627 et 628).
 
6
À quels phénomènes peut-on attribuer le fait que l’émission solaire arrivant sur la Terre soit de longueurs d’onde plus élevées qu’attendu par la loi de Wien ?
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
Le Soleil est un corps presque noir (le corps noir restant idéal et les longueurs d’onde émises par un corps gris étant moins énergétiques) ; de plus, il existe une diffusion par l’atmosphère des plus courtes longueurs d’onde (page 627) et une absorption par l’ozone (cette dernière composante en fait intervient ici assez peu).
 
7
Pour quelle longueur d’onde la peau de l’homme vivant émet-elle le maximum de rayonnements d’origine thermique ?
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
L’application de la loi de Wien (page 627) fournit une limite inférieure de la longueur d’onde recherchée. Ceci a constitué à une époque une voie de recherche diagnostique, la thermographie infrarouge (page 541).
 
8
La catastrophe ultraviolette est prise compte par :
  • A
    la statistique de Maxwell-Boltzmann ;
  • B
    l’effet photoélectrique décrit par Albert Einstein ;
  • C
    la constante de Planck ;
  • D
    la description des ondes électromagnétiques de Maxwell ;
  • E
    la théorie de la relativité restreinte d’Einstein.
Le mot de l'auteur :
Voir page 629 (encadré).
 
9
La cohérence d’ondes électromagnétiques implique :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
Voir pages 630-632. La réponse A est bien plus spécifique de la cohérence et présuppose la réponse B.
 
10
Le rapport gyromagnétique est le rapport :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
Voir page 657. On prendra cependant garde à l’existence du rapport gyromagnétique du neutron (page 659), qui n’est pourtant pas globalement porteur de charge.
 
11
Le magnéton de Bohr :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
Voir page 658.
 
12
Le GPS utilise essentiellement les radiofréquences :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
C'est le cas également de la téléphonie mobile et de certaines bandes TV (voir tableau 17.2, page 621).
 
13
Le four à micro-ondes utilise essentiellement les radiofréquences :
  • A
    extrêmement basses (VLF) ;
  • B
    basses (LF) ;
  • C
    très hautes (VF) ;
  • D
    ultra-hautes (UHF) ;
  • E
    extrêmement hautes (EHF).
Le mot de l'auteur :
À ne pas confondre avec le chauffage à induction (voir tableau 17.2, page 621).
 
14
L’IRM utilise essentiellement les radiofréquences :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
Les très hautes fréquences VHF sont typiquement celles situées autour de Radio-France FM pour un champ de 1 tesla (voir tableau 17.2, page 621).
 
15
En pratique, l’indice optique d’un milieu est :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
Cela est vrai du moins dans un milieu non conducteur (page 642).
 
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