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QCM et QROC


Bienvenue dans l'espace interactif de votre manuel.

Les QCM. Rappelez-vous que chaque QCM est directement lié au cours de votre manuel : il vous est donc conseillé d'en effectuer une lecture attentive avant de vous lancer dans ce test !

Pour chaque question, cochez, parmi les items proposés, celui ou ceux qui vous semblent corrects (lorsque le contenu de l’item ne s’affiche pas, reportez-vous au QCM correspondant dans votre ouvrage). Attention, parfois plusieurs propositions sont exactes, et il n'y a qu'une seule combinaison juste : pour être considérée comme bonne, votre réponse doit donc regrouper toutes les propositions exactes, et uniquement celles-ci.

Une fois que vous aurez terminé cette série de QCM, cliquez sur le bouton "Valider" en bas de page. Une note vous sera attribuée, selon le barème suivant : réponse correcte = 1 point ; réponse incorrecte = – 1 point ; pas de réponse = 0 point. Vous pourrez alors, au choix, soit tenter d'améliorer votre score, soit accéder directement aux solutions.

Si vous décidez de retenter votre chance, le questionnaire s’affichera à nouveau, avec vos réponses d’origine. En regard de chaque QCM, un bouton « Tester » vous permettra de savoir si vous avez bien répondu ou non à la question : si votre réponse est juste, elle s’affichera sur fond vert ; si elle est fausse, elle s’affichera sur fond rouge, et vous aurez la possibilité de la modifier. Répétez l’opération sur l’ensemble des questions pour lesquelles vous n’êtes pas sûr de vous, et validez à nouveau la totalité du questionnaire : votre nouvelle note s’affiche.

Les QROC. Rédigez votre réponse sur une feuille de papier, et comparez-la avec la solution proposée par les auteurs.

Bon entraînement et bonne chance !
1
Tester l’acuité visuelle d’un sujet est le seul paramètre pour évaluer :
  • A
    le fonctionnement de son champ périphérique ;
  • B
    sa sensibilité au contraste ;
  • C
    son aptitude à la conduite d’une automobile ;
  • D
    la qualité de sa compensation optique ;
  • E
    la qualité de sa vision des couleurs.
Le mot de l'auteur :
– Les réponses A et B sont fausses (voir paragraphes 12.5.3 et 12.5.4, pages 488 à 492 du manuel).
– La réponse C est fausse (voir www.snof.org/vue.html).
 
2
La vision normale des couleurs nécessite le codage des longueurs d’onde :
  • A
    par deux types de cônes rétiniens ;
  • B
    par l’aire rétinienne centrale ;
  • C
    par la voies des bipolaires diffuses ON et OFF ;
  • D
    par les réponses des cellules ganglionnaires parasols ;
  • E
    par une zone étendue de l’aire visuelle primaire.
Le mot de l'auteur :
– La réponse A est fausse (voir paragraphe 12.3.3, page 472 du manuel).
– La réponse C est fausse car la vision des couleurs est gérée par la voie P (bipolaires naines ON et OFF) et la voie K (bipolaires de cônes S ON) (voir paragraphe 12.3.4, page 472 du manuel).
– La réponse D est fausse (voir paragraphe 12.3.4, page 472 du manuel).
– La réponse E est fausse (voir paragraphe 12.3.4, page 473 du manuel).
 
3
Un sujet daltonien :
  • A
    a une anomalie de l’acuité visuelle ;
  • B
    a une déficience de la vision des couleurs liée au chromosome X ;
  • C
    a une amputation de son spectre ;
  • D
    a une probabilité normale d’absorption des photons par le photopigment S ;
  • E
    doit être soumis à des examens complémentaires en vue de métiers de sécurité.
Le mot de l'auteur :
– On trouvera le justification au paragraphe 12.4.1a (page 474) du manuel et sur www.snof.org/vue.html.
– La réponse C n’est exacte que pour le sujet protanope (voir figure 12.29, page 477 du manuel).
 
4
Un sujet atteint de protanopie :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
On trouvera la justification à la page 477 du manuel.
 
5
Vous devez choisir l’un des examens suivants pour tester la qualité du domaine visuel d’un de vos patients, lequel vous paraît le plus important ?
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– La proposition B est importante, mais pas «le plus important».
– La proposition C teste seulement le champ central des deux yeux associés.
 
6
Les cellules de la neurorétine sensibles à la lumière sont :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– La réponse C est exacte (voir page 448 du manuel).
– La réponse D est fausse car leurs potentiels ne varient que sous l’influence de la variation de concentration de glutamate émis par les cônes ou les bâtonnets (voir paragraphe 12.1.5, page 448 du manuel).
– La réponse E est fausse (voir pages 441 et 471 du manuel).
 
7
Les cellules ganglionnaires naines :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– On trouvera la justification au paragraphe 12.2.3 (page 473) du manuel.
– La réponse C est fausse car ce sont les cellules ganglionnaires bistratifiées (voir page 473 du manuel).
– La réponse D est exacte (voir paragraphe 12.1.6a, page 452 du manuel).
– La réponse E est fausse (voir paragraphe 12.1.6c, page 453 du manuel).
 
8
Les photopigments des cellules sensorielles de la rétine :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– La réponse A est exacte (voir paragraphe 12.4, page 474 du manuel).
– La réponse B est exacte, grâce à la rhodopsine portée par les bâtonnets (voir paragraphe 12.1.4, page 444 du manuel).
– La réponse C est exacte (voir page 447 du manuel).
– La réponse D est fausse car les photopigments initient l’hyperpolarisation des photorécepteurs lors de la capture des photons (voir page 445 du manuel).
– La réponse E est fausse car ce sont les photorécepteurs qui le libèrent en l’absence de stimulation (voir paragraphe 12.1.4, page 444 du manuel).
 
9
Un sujet protanope :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– La réponse A est fausse (voir figure 12.29, page 477 du manuel).
– La réponse C est exacte (voir figure 12.29, page 477 du manuel).
– La réponse D est exacte (voir www.snof.org/vue.html).
– La réponse E est fausse car le sujet ne voit aucune des longueurs d’onde supérieures à 650 nm.
 
10
Un sujet normal et un sujet daltonien ont :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– La réponse B est exacte : les modifications ne portent que sur les photopigments des cônes ; la vision de nuit est gérée par le système des bâtonnets.
– La réponse D est exacte : en effet, le daltonien n’a pas de modification de sensibilité lumineuse dans son champ visuel (voir page 488 du manuel).
 
11
Un sujet achromate :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
– On trouvera la justification à la page 480 du manuel.
– La réponse A est fausse car les cônes sont bien présents dans la neurorétine, mais ils sont non fonctionnels (voir page 480 du manuel).
– La réponse B est fausse car les bâtonnets sont présents et normaux ; ils assurent la perception visuelle (voir page 480 du manuel).
– La réponse C est fausse car les trois types de cônes sont non fonctionnels.
 
12
Dans quelles circonstances un photorécepteur est-il excité ?
Les photorécepteurs sont excités à l’obscurité (voir page 444 du manuel).
http://salomonkalou.com/
 
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