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QCM


Bienvenue dans l'espace interactif de votre manuel.

Les QCM. Rappelez-vous que chaque QCM est directement lié au cours de votre manuel : il vous est donc conseillé d'en effectuer une lecture attentive avant de vous lancer dans ce test !

Pour chaque question, cochez, parmi les items proposés, celui ou ceux qui vous semblent corrects (lorsque le contenu de l’item ne s’affiche pas, reportez-vous au QCM correspondant dans votre ouvrage). Attention, parfois plusieurs propositions sont exactes, et il n'y a qu'une seule combinaison juste : pour être considérée comme bonne, votre réponse doit donc regrouper toutes les propositions exactes, et uniquement celles-ci.

Une fois que vous aurez terminé cette série de QCM, cliquez sur le bouton "Valider" en bas de page. Une note vous sera attribuée, selon le barème suivant : réponse correcte = 1 point ; réponse incorrecte = – 1 point ; pas de réponse = 0 point. Vous pourrez alors, au choix, soit tenter d'améliorer votre score, soit accéder directement aux solutions.

Si vous décidez de retenter votre chance, le questionnaire s’affichera à nouveau, avec vos réponses d’origine. En regard de chaque QCM, un bouton « Tester » vous permettra de savoir si vous avez bien répondu ou non à la question : si votre réponse est juste, elle s’affichera sur fond vert ; si elle est fausse, elle s’affichera sur fond rouge, et vous aurez la possibilité de la modifier. Répétez l’opération sur l’ensemble des questions pour lesquelles vous n’êtes pas sûr de vous, et validez à nouveau la totalité du questionnaire : votre nouvelle note s’affiche.

Les QROC. Rédigez votre réponse sur une feuille de papier, et comparez-la avec la solution proposée par les auteurs.

Bon entraînement et bonne chance !
1
Soit une bifurcation vasculaire formant une boucle et perfusée par du sang (cf. schéma ci-dessous). La longueur de la branche A est égale à la moitié de celle de la branche B. Les diamètres de chaque branche sont égaux et constants sur toute la longueur de la branche.


Dans un premier temps, l’hématocrite est égal à 45% (on fera l’hypothèse simplificatrice d’un hématocrite et d’une viscosité du sang identique dans toutes les branches). On appelle R1 le rapport égal à la contrainte de cisaillement à la paroi dans la branche A divisée par la contrainte de cisaillement à la paroi dans la branche B.

Dans un deuxième temps, l’hématocrite est réduit, ce qui entraîne une diminution de moitié de la viscosité sanguine dans toutes les branches. On appelle R2 le rapport égal à la contrainte de cisaillement à la paroi dans la branche A divisée par la contrainte de cisaillement à la paroi dans la branche B correspondant à cette nouvelle viscosité.

Indiquer la proposition exacte :
  • A
    R1/R2 = 0,5.
  • B
    R1/R2 = 1.
  • C
    R1/R2 = 2.
  • D
    R1/R2 = 8.
  • E
    R1/R2 = 16.
Le mot de l'auteur :
Le rapport R1/R2 correspond à (1A/1B)/(2A/2B) où est la contrainte de cisaillement donnée dans les conditions décrites par l’expression de la dernière ligne de la page 235 du manuel ; A et B sont indépendants de la longueur des branches, proportionnels aux coefficients de viscosité , fonction des hématocrites qui varient entre les deux temps mais identiquement en A et en B. Enfin, les rapports des débits QA/QB dans les branches A et B sont identiques dans le premier et dans le second temps. R1 et R2 sont donc égaux.
 
2
Soit une artère perfusée à débit constant imposé. Par un mécanisme de régulation, son rayon est divisé par 2. Comment varie le taux de cisaillement à la paroi ? (On considérera une viscosité constante.)
  • A
    Il reste constant.
  • B
    Il est divisé par 2.
  • C
    Il est divisé par 4.
  • D
    Il est multiplié par 4.
  • E
    Il est multiplié par 8.
Le mot de l'auteur :
Le taux de cisaillement varie en 1/R3 (même formule que la question 1 précédente). À débit constant et viscosité constante, il varie donc de 1 à 8 lorsque le rayon (ou le diamètre) varie de 2 à 1.
 
3
Soit une artère perfusée à gradient de pression constante imposée. Par un mécanisme de régulation, son diamètre est divisé par 2. Comment varie le taux de cisaillement à la paroi ? (On considérera une viscosité constante.)
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
Le mot de l'auteur :
À l’inverse de la question 2 précédente, selon la loi de Poiseuille, et P étant constants, le terme Q/R4 est constant et le taux de cisaillement qui est en Q/R3 (comme la contrainte de cisaillement) est donc proportionnel à R.
 
4
Nous considérerons une artère élastique. Des individus de 30 ans et de 70 ans présentent le même diamètre artériel.
  • A
    La pression transmurale est indépendante de l’âge.
  • B
    La pression transmurale diminue avec l’âge.
  • C
    La pression transmurale augmente avec l’âge.
  • D
    La pression transmurale passe par un maximum avec l’âge.
  • E
    La pression transmurale passe par un minimum avec l’âge.
 
5
Une augmentation d’hématocrite :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
6
La vitesse d’écoulement des globules rouges :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
7
Soit une artère musculo-élastique chez un patient qui présente une baisse de pression artérielle.
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
8
Le gaz inspiré :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
9
Un sujet a un quotient respiratoire de 0,8. Sa consommation de dioxygène est de 0,2 mmol·s–1. Son débit de ventilation est de 6 L·min–1. La pression barométrique est de 100 kPa. Le point inspiratoire dans le diagramme P(O2)-P(CO2) a une abscisse de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
10
Un sujet a un quotient respiratoire de 0,8. Sa consommation de dioxygène est de 0,2 mmol·s–1. Son débit de ventilation est de 6 L·min–1. La pression barométrique est de 100 kPa. La valeur de son débit de rejet de dioxyde de carbone est de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
11
Un sujet a un quotient respiratoire de 0,8. Sa consommation de dioxygène est de 0,2 mmol·s–1. Son débit de ventilation est de 6 L·min–1. La pression barométrique est de 100 kPa. La valeur de la pression partielle en dioxyde de carbone de son gaz expiré est de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
12
Un sujet a un quotient respiratoire de 0,8. Sa consommation de
dioxygène est de 0,2 mmol·s–1. Son débit de ventilation est de 6 L·min–1. La pression barométrique est de 100 kPa. La valeur de la pression partielle en dioxygène de son gaz expiré est de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
13
En altitude, pour un sujet normal :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
14
La courbe de dissociation de l’hémoglobine :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
15
L’effet Haldane :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
16
Le point idéal :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
17
Une zone d’espace mort parallèle :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
18
Une zone de shunt :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
19
Un sujet a un débit sanguin pulmonaire capillaire de 5 L·min–1 et un débit de ventilation alvéolaire de 4 L·min–1. La valeur de son rapport ventilation/perfusion global est de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
20
Un sujet a un débit sanguin pulmonaire capillaire de 5 L·min–1, un débit de ventilation alvéolaire de 4 L·min–1. En fin d’expiration, la valeur de la pression partielle en dioxyde de carbone de 5 kPa. La concentration de son sang veineux mêlé en dioxyde de carbone est de 23 mmol·L–1. La valeur de la concentation en dioxygène de son sang de fin de capillaire est de :
  • A
  • B
  • C
  • D
  • E
 
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