Maxime Loubon
Biologiste de terrain et photographe, Maxime vit pleinement sa passion depuis 2007. Des flots déchaînés des mers du Sud à la forêt amazonienne, en passant par la steppe infinie d’Asie centrale, il finit toujours par retrouver son port d’attache dont il aurait du mal à se passer : Marseille. C’est bel et bien cette faconde propre aux Phocéens qui lui a permis d’accéder aux mythes et secrets parmi les mieux gardés d’Asie centrale ! Il peut alors aisément interpréter les vents, communiquer avec les bergers et les troupeaux, ou même un souslik en vadrouille, sans aucune difficulté. C‘est aussi armé du seul instrument capable de rendre tout vécu universel qu’il arpente ces régions depuis 2015 : son fidèle appareil photo.
